EFFETS DES RAYONNEMENTS IONISANTS SUR L’ORGANISME

NOVA RADIOPROTECTION © propose un regard objectif sur les dangers et les répercussions des rayonnements ionisants sur l’organisme d’individus soumis à des expositions ponctuelles ou « répétées ».

Comment s’articule sur terre le vieillissement de nos cellules exposés aux rayonnements naturel : « cosmique » et « tellurique »

Le vieillissement des cellules confirment un lien de cause à effet entre le vieillissement pluri-cellulaire humain et les rayonnements cosmiques ou telluriques. Nos connaissances sont à ce jour limitées et fragmentées et se confrontent à une cause principale et probable du vieillissement des télomères.

Les télomères, ces extrémités des chromosomes qui sont indispensables pour préserver l’intégrité du matériel génétique au cours du cycle de vie cellulaire.

Avec la pluralité des perturbateurs endocriniens recensés à ce jour, les scientifiques ont  du mal à rassembler les nombreux faisceaux d’indices issus d’exposition aux rayonnements artificiels d’origine médicale et industrielle qui conduisent à déterminer un processus d’anomalies cellulaires bien avant d’atteindre une dose individuelle ponctuelle ou cumulée de 200 mSv.

Si bien que l’UNSCEAR, ICRP et l’AIEA ont décrété pour les expositions artificielles une zone d’incertitude du risque radio-induit qui s’étend de 0 mSv à 200 mSv pour des doses individuelles ponctuelles ou cumulées.

Des expositions artificielles qui superposent des dommages « immédiats » ou « retardés » sur nos cellules

Avec un effet « immédiat » ou « retardé », les dommages causés par les radiations artificielles sont spécifiques et multiples vis-à-vis de nos cellules, et ainsi spécifique à chaque organe.

Foie, oeil, estomac, rate, etc. Des organes pluri-cellulaires ou uni-cellulaires , plus ou moins radiosensibles qui présentent des anomalies plus ou moins prononcées en fonction des seuils d’exposition au rayonnements X, β, ϒ, α, n et des seuils doses exprimés en « Sievert ».